EPISODE 55 : FIONA, JE NE VEUX PAS D’ENFANT !

Pas d’enfant : childfree

Pourquoi serait-on obligée de faire comme tout le monde ? Pourquoi ne pas réinventer la fin des contes et dire qu’ils se marièrent et vécurent heureux, juste tous les deux ? Certaines petites filles ignorent les poupées et n’ont aucune envie de jouer au papa et à la maman. Aux États-Unis, on les appelle les childfreefree, comme libre de choisir, libre de casser des codes établis depuis toujours, libre d’assumer. Fiona ne veut pas d’enfant, et elle l’assume !

Je n’ai pas d’enfant, et alors ?

Elle fait partie de ces femmes nullipares qui revendiquent le droit de s’épanouir sans se reproduire, adorer être entourée d’enfants, mais sans avoir à les fabriquer. Et même si l’acceptation de son choix n’a pas toujours été facile pour ses partenaires, elle n’a jamais cédé. Fiona est pleine de surprises !

“Bordel de Mères” ou la “charge maternelle”

Alors qu’on l’imaginerait éviter tout ce qui touche de près ou de loin à la maternité, elle a en fait embrassé la cause de ce qu’elle appelle « la charge maternelle ». Ainsi, à travers son compte Instagram « Bordel de Mères », elle dénonce les pressions et les préjugés qui pèsent sur les femmes, mères ou pas. C’est intelligent et nécessaire.
Dans ce nouvel épisode de Bliss.Stories, je vous propose un shot de Fiona Schmidt. Et vous allez voir, ça fait du bien !

L’Insta de Fiona : @thefionaschmidt
Bordel de Mères : @bordel.de.meres

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LES TEN TIPS DE FIONA

  1. ÊTRE INDULGENTE AVEC SOI-MÊME. J’ai longtemps été persuadée de ne pas être normale parce que je ne voulais pas d’enfant. Je suis même allée voir un psy pour ça, pour me « réparer ». En fait, ne pas vouloir ce que la majorité des femmes veulent ne fait pas de vous un humain de seconde zone.
  2. ÊTRE INDULGENTE AVEC LES AUTRES. J’ai souffert des questions permanentes et des préjugés. Alors pour me défendre, j’avais moi-même des préjugés sur la maternité. C’est absurde ! Car on n’annule pas un préjugé avec un autre préjugé. Le problème, ce ne sont ni les mères, ni les kids. Le problème, ce sont les stéréotypes. Ce sont eux qu’il faut combattre, ensemble, qu’on soit mère ou pas, qu’on veuille l’être ou pas.
  3. NE PAS CULPABILISER. Si j’avais reçu un euro à chaque fois qu’on m’avait dit : « Mais tu penses à celles qui ne peuvent pas avoir d’enfant ?!? », je serais riche… La grossesse de solidarité n’a donc aucun sens.
  4. NE PAS SE JUSTIFIER. Votre utérus, votre choix. Point.
  5. AVOIR DE LA REPARTIE POUR CEUX QUI INSISTENT. En effet, avec un grand sourire, dire : « Pourquoi le fait que je me reproduise contre ma volonté a l’air de te tenir tellement à cœur ? » En général, ça calme.
  6. SI L’AMOUREUX.SE N’EST PAS D’ACCORD. Changer d’amoureux.se !
  7. SI LES PARENST NE SONT PAS D’ACCORD. Le chantage à la procréation de parents qui veulent être grands-parents peut être pénible et blessant. Pourtant, rappelez-vous : vous n’avez signé aucune reconnaissance de dette existentielle à la maternité.
  8. NE PAS FORCER LA NATURE. Toutes les childfree ne sont pas allergiques aux kids. Loin de là ! 
  9. ASSUMER SON MODE DE VIE. Car il y a peu de chance que vous regrettiez un mode de vie que vous avez choisi.
  10. PROFITER DE L’ESPACE AUTOUR. La liberté d’être et de faire ce qu’on veut et quand on veut, c’est un bonheur tout aussi valable que celui d’avoir une famille ! 

Et pour écouter l’histoire de Clémentine, rendez-vous juste ici >> My Story

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